Les marchés d’actions mondiales ont reculé au cours de la semaine terminée le 7 janvier en contexte d’incertitude entraînée par le variant Omicron et l’augmentation potentiellement plus hâtive des taux d’intérêt par la Réserve fédérale américaine (Fed). Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a terminé la semaine en territoire négatif, miné par le secteur des technologies de l’information. L’indice S&P 500 s’est aussi incliné, lésé par la sous-performance du secteur de l’immobilier. Les actions technologiques ont chuté, en réponse à une certaine méfiance envers leurs évaluations, comme en témoigne le retrait de plus de 4 % de l’indice composé NASDAQ. Du côté des matières, le prix du pétrole a grimpé tandis que celui de l’or est tombé. Et finalement, sur le plan des rendements obligataires, les bons à 10 ans des gouvernements canadien et américain ont tous deux profité d’une hausse pendant la semaine.
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